Chen Zhen se rappela les vers de Li Bai :
La lune brillante apparaît sur le mont Tianshan
et erre dans la mer de nuages.
De l’espace lointain souffle le vent,
en s’approchant il franchit le col de Jade.
…
Regardez ces flots du Fleuve Jaune !
Ne descendent-ils pas du ciel et, majestueusement,
Ne roulent-ils pas vers la mer d’une seule coulée ?
Extrait du livre „Le dernier loup“ de Jiang Rong
L’esprit tournoie de toutes parts et il revient sur lui-même par de longs circuits. Toutes les révolutions entrent dans l’histoire, et l’histoire n’en regorge point; les fleuves des révolutions retournent d’où ils étaient sortis, pour couler encore. (in Panégyrique de G.Debord)